« Une société « sans intérêt » sert-elle l’intérêt général ? Sans renoncer à la nécessaire transparence et éthique de la vie publique, il parait plus que nécessaire de circonscrire la définition juridique de l’intérêt prohibé ».
Retrouvez ici l’article de Marion Delaigue dans l’édition générale du Club des Juristes
